Pourquoi à t’on besoin de se remettre en question?
Dans la vie on est obligé d’avancer pour vivre et souvent on fait alors beaucoup de taches répétitives sans chercher à savoir si elles correspondent toujours avec notre état d’esprit. Or nous vieillissons et nos buts, nos idées, nos quêtes changent. Aussi parfois une rencontre, un problème, une maladie etc., nous obligent à nous regarder en face et à faire un bilan de notre vie passée. Nous sommes amenés à nous poser les bonnes questions. Suis-je heureux dans ma vie relationnelle, dans ma vie professionnelle ? Suis-je heureux tout simplement ? Est ce que ma vie correspond toujours à mes besoins et mes désirs ? Qu’est ce que je cherche aujourd’hui ? Où en suis je avec la personne qui partage ma vie ? ….
Au vue de toutes ces questions, l’homme s’aperçoit d’une chose, on ne peut pas indéfiniment, refuser de voir ses problèmes, ses angoisses et ses doutes. Ceux ci finissent par devenir trop pesant, par nous exploser au visage et nous faire très mal. Bien sur ce n’est pas parce que nos pensées, nos besoins et nos désirs changent, que l’on doit balayer d’un revers tout ce que l’on a construit auparavant. Mais ce qui est sur, c’est que lorsqu’on en a pris conscience, on ne peut plus voir les choses comme avant. Il nous faut donc, accepter de regarder en face ce qui ne va plus pour pouvoir le régler et retrouver sa sérénité. Ce passage est très difficile à vivre pour soi même, et pour ses proches, car le changement implique forcement une phase de destruction (de ce qui ne vas pas), suivie d’une phase de reconstruction. C’est la première phase qui est la plus difficile à vivre, elle engendre des dégâts et surtout désoriente les autres qui ne comprennent pas toujours ce que l’on recherche. Aussi je pense que pendant cette période, il faut maintenir voire même accentuer le dialogue avec ses proches, quand cela est possible.
Au vue de toutes ces questions, l’homme s’aperçoit d’une chose, on ne peut pas indéfiniment, refuser de voir ses problèmes, ses angoisses et ses doutes. Ceux ci finissent par devenir trop pesant, par nous exploser au visage et nous faire très mal. Bien sur ce n’est pas parce que nos pensées, nos besoins et nos désirs changent, que l’on doit balayer d’un revers tout ce que l’on a construit auparavant. Mais ce qui est sur, c’est que lorsqu’on en a pris conscience, on ne peut plus voir les choses comme avant. Il nous faut donc, accepter de regarder en face ce qui ne va plus pour pouvoir le régler et retrouver sa sérénité. Ce passage est très difficile à vivre pour soi même, et pour ses proches, car le changement implique forcement une phase de destruction (de ce qui ne vas pas), suivie d’une phase de reconstruction. C’est la première phase qui est la plus difficile à vivre, elle engendre des dégâts et surtout désoriente les autres qui ne comprennent pas toujours ce que l’on recherche. Aussi je pense que pendant cette période, il faut maintenir voire même accentuer le dialogue avec ses proches, quand cela est possible.
Oui Juan-Lucas,le dialogue est le meilleur des moyens,quand il peut y avoir un dialogue,ce qui n'est pas toujours le cas.Alors petit à petit,l'éloignement grandit et vient l'indifférence,l'habitude et le fait d'avoir acquis l'autre et d'être persuadé qu'il n'y aura pas de réactions.Ce que pensait mon ex mari,mais lorsque cela devient invivable,il faut prendre une décision,j'y ai longuement réfléchi et j'ai souffert moralement,c'est clair que ce n'est pas une partie de plaisir.Gâcher sa vie non plus!Tu dois te dire que je suis une vraie pipelette,en fait non,plutôt timide,lol,tu vas pas le croire.. bisous et excellent dimanche.Véro
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